fbpx Prépa N°1 - Les préparations aux Concours ENV Véto et ENSA Agro catégorie A BCPST Cap'VetoAgro Paris, Toulouse, Lyon, Bordeaux, Lille...

Les préparations aux Concours A BCPST Véto Agro à Prep'VetoAgro

Concours Véto PostBAC via parcoursup / B ENV / B ENSA / C ENV

Prépa concours Vétérinaire PostBac via Parcoursup : ils contribuent à votre réussite

Nos préparations annuelles aux concours A ENV Véto et A ENSA Agro (BCPST)

Sur Paris, Toulouse, Lyon et Bordeaux, Prep'VetoAgro vous propose différentes préparations aux concours A BCPST d'entrée dans les ENV Véto et les ENSA Agro de France. Nos préparations ont été spécialement conçues pour s'adapter à chaque profil de candidat ainsi qu'à leurs disponiblités.

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Stages intensifs au concours Véto et Agro catégorie A (ENV ENSA) à la carte sur Paris, Toulouse, Lyon et Bordeaux BCPST

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►Voie A du concours Vétérinaire

La voie A est ouverte aux titulaires d'un baccalauréat général, ou d'un baccalauréat technologique, ou d'un baccalauréat professionnel. Les épreuves de la voie A portent sur le programme des classes préparatoires aux grandes écoles de biologie, chimie, physique et sciences de la Terre (BCPST), défini par le ministre chargé de l'enseignement supérieur.

l'inscription de candidats qui ne sont pas élèves dans un lycée, est autorisée (candidats libres).

►Quelles sont les épreuves du concours A ENV (Véto)?

  • Epreuves d'admissibilité

Concours A ENV – Biologie - Epreuve de synthèse (3h)

Elle porte sur un sujet exprimé par un libellé court, éventuellement accompagné de commentaires permettant de lever des ambiguïtés (précision des limites, d’attendus spécifiques). Le traitement du sujet de synthèse doit amener le candidat à :

  • Identifier et présenter les principaux concepts et faits essentiels, de premier ordre, relevant de plusieurs items différents du programme ;
  • Dégager des grands axes et des problématiques d’ordre biologique, d’organiser et de structurer le propos, en s’appuyant sur un plan adapté au sujet ;
  • Développer des argumentations appuyées sur des faits choisis et présentés avec concision de façon à soutenir explicitement le propos sous forme de texte et/ou sous forme graphique (la présentation d’approches expérimentales restant nécessairement limitée à la relation principe/résultat/concept).

Globalement, l’épreuve de synthèse permet de tester la maîtrise par le candidat du socle de connaissances en biologie exigible en fin de Classe Préparatoire aux Grandes Écoles, son aptitude à les mobiliser, les organiser, les mettre en perspective, en les adaptant à un sujet posé.

Compétences évaluées :

  • Identifier et formuler une problématique ;
  • Hiérarchiser, articuler, structurer un propos ;
  • Construire une argumentation scientifique ;
  • Résoudre le problème, mettre en perspective ;
  • Communiquer à l’écrit sous forme de texte (clarté de l’expression, précision du vocabulaire, maîtrise de la syntaxe et de l’orthographe) ;
  • Communiquer à l’écrit sous forme graphique (schéma(s) adapté(s) au propos).

L’évaluation s’attache à l’essentiel. La complétude, évaluée par référence aux contenus fondamentaux définis par le programme, valorise la concision et la pertinence des choix.

Concours A ENV - L’épreuve de SVT (4h)

Le sujet de géologie comme celui de biologie comprend un ensemble de documents dont l’exploitation est essentiellement guidée par des questions précises.

Si des données numériques doivent être exploitées, seuls des ordres de grandeur sont attendus ou bien des calculs simples posés « à la main ».

Les deux parties de cette épreuve, sciences de la vie d’une part et sciences de la Terre d’autre part, sont traitées à égalité : il est attendu que chaque candidat consacre deux heures à chacune. Le sujet de géologie est distribué en premier ; le sujet de biologie est distribué plus tard, de façon à ce que les candidats soient autorisés à commencer de le traiter au début de la troisième heure. Les deux parties sont traitées sur un seul ensemble de copies, numérotées à la suite les unes des autres et remises ensemble en fin d’épreuve. Le même nombre de points est affecté à chacune des deux parties.

L’épreuve sur documents permet essentiellement de tester la capacité du candidat à construire une argumentation scientifique. Le candidat est amené notamment à se référer aux modèles appris et à réinvestir des connaissances, à discuter de ses interprétations, à exercer son esprit critique.

Compétences évaluées :

  • Recueillir et exploiter des informations ;
  • Identifier un problème et formuler une (des) hypothèse(s) ;
  • Analyser des documents scientifiques, en hiérarchisant les informations ;
  • Mobiliser les connaissances scientifiques pertinentes pour résoudre un problème ;
  • Exercer son esprit critique ;
  • Maîtriser des relations de corrélation ou de causalité ;
  • Structurer un raisonnement scientifique.

La rédaction des réponses et la réalisation de productions graphiques (schéma, tableau, courbe, etc.) à partir des informations obtenues au fil de l’épreuve permettent par ailleurs de tester les capacités des candidats à maîtriser les techniques de la communication écrite dans le cadre de l’analyse et de l’exploitation de documents scientifiques :

  • Maîtriser les techniques de communication écrite dans le cadre de la construction d’un argumentaire : synthèse, structure, clarté de l’expression ;
  • Présenter graphiquement les conclusions des analyses réalisées.

 

Concours A ENV - L'épreuve de Méthodes de calcul et raisonnement (2h30)

Cette épreuve porte sur l’acquis et la maîtrise des connaissances, du formalisme mathématique, du calcul symbolique, et des différentes méthodes de raisonnement. La maîtrise de la logique est mise en jeu dans ce questionnement.

Compétences évaluées :

  • Utiliser le formalisme mathématique ;
  • Calculer (faire un bon usage des techniques de calcul symbolique) ;
  • Mobiliser les connaissances scientifiques pertinentes pour résoudre un problème ;
  • Structurer un raisonnement, suivre une progression logique ;
  • Raisonner ou démontrer (en utilisant les différents outils et méthodes au programme)

Concours A ENV - Modélisation mathématique et Informatique (3h30)

Cette épreuve porte sur le traitement mathématique d’un problème concret au sens où il est issu d’une situation liée à la biologie, la géologie, la physique, la chimie ou à la géographie. Le problème étudié ne doit pas nécessiter de connaissance supplémentaire en dehors de celles qui figurent au programme de mathématiques. Le candidat peut ainsi être amené à proposer ou à analyser un ou des modèles, à en étudier les propriétés, à les valider ou à les critiquer, sur des questions théoriques ou pratiques (l’énoncé pouvant s’accompagner par exemple de documents à étudier). La démarche mathématique reste le cadre opérationnel, et le calcul numérique a toute sa place dans ce contexte. La partie « algorithmique » du programme d’informatique est évaluée dans cette épreuve par le moyen de questions d’algorithmique liées à la simulation du modèle.

Compétences évaluées :

  • Étudier un modèle (critique du modèle, analyse de ses propriétés, confrontation de modèles) ;
  • Construire une argumentation à partir de diverses sources (connaissances, développements théoriques proposés par l’énoncé, documents fournis, calculs numériques et approximations adéquates) ;
  • Représenter des objets mathématiques sous diverses formes (graphique, numérique, symbolique) et passer d’une forme à une autre ;
  • Calculer numériquement (utilisation conceptuelle de l’outil informatique et pratique de la calculatrice) ;
  • Communiquer à l’écrit (cette compétence n’étant pas spécifiquement évaluée dans l’autre épreuve écrite de mathématiques).

Concours A ENV - L'épreuve de physique -Chimie 

Résolution de problèmes (3h) et analyse de documents (3h)

Ces deux épreuves s’appuient sur l’exigence d’évaluer les compétences acquises par les candidats à l’issue des deux années de préparation dans la filière BCPST qui recouvrent le champ scientifique de la physique-chimie et le champ de la communication écrite. Chaque épreuve est conçue sans contrainte mono disciplinaire ; toutefois une mobilisation équilibrée des compétences en physique et en chimie est respectée au regard de l’ensemble des deux épreuves.

Les compétences scientifiques communes aux deux épreuves écrites comprennent d’abord une composante de mobilisation des ressources, notamment la maîtrise des notions et concepts de la physique et de la chimie au programme des deux années de préparation, et pouvant par conséquent interférer avec des acquis interdisciplinaires.

Une deuxième composante des compétences scientifiques à l’écrit est constituée par l’élaboration d’une argumentation scientifique intégrant, selon les thèmes et sans exhaustivité, une démarche, un raisonnement ou un calcul.

Une troisième composante réunit la construction et l’utilisation critique d’un modèle.

Les compétences de communication écrite communes aux deux épreuves prennent en compte à la fois la maîtrise de la langue française écrite et celle des autres supports spécifiques de la communication scientifique comme les équations, schémas, graphes, etc. Elles intègrent la clarté et la pertinence de l’argumentaire proposé par le candidat.

Chaque épreuve active aussi des compétences scientifiques spécifiques :

L’épreuve « Résolution de problème » est déclinée par des questions essentiellement fermées qui mobilisent principalement les compétences scientifiques cognitives et réflexives directement ancrées au programme des deux années ; des questions ouvertes peuvent également apparaître dans le déroulé de l’épreuve sans constituer néanmoins d’obstacle à la poursuite de la résolution. Les questions sont organisées autour d’un ou plusieurs thèmes dont l’intérêt est précisé.

L’épreuve « Analyse de documents scientifiques » s’appuie sur des documents scientifiques de nature variée par leur origine et leur forme. Elle mobilise par conséquent plus fortement les compétences dans les domaines de l’analyse critique, de l’autonomie et de la prospective, à côté des autres compétences. Les questions découlant de l’appropriation des documents suscitent un travail de difficulté graduée : extraction d’informations, liens aux notions et concepts du programme, construction et/ou interprétation de modèles, présentation d’un argumentaire, analyse critique de résultats, démarche prospective.

Concours A ENV – L'épreuve de français (3h)

Cette épreuve porte sur le programme des classes préparatoires pour l’année en cours. Elle permet d’apprécier chez les candidats, outre l’indispensable connaissance des œuvres, la pertinence de la réflexion, la qualité de l’expression et la faculté d’organiser leur pensée.

Concours A ENV - L’épreuve d'anglais (2h)

L’épreuve comporte trois évaluations :

  1. Un thème journalistique d’environ 150 mots destiné à vérifier la connaissance réfléchie des deux systèmes linguistiques (lexique, structures grammaticales). Cet exercice compte pour 6 points.
  2.  Une question destinée à tester la compréhension d’un ou de deux articles de presse (d’une longueur totale n’excédant pas 500 mots) exprimant un ou plusieurs points de vue. Ce support a un ancrage clair dans l’aire linguistique et culturelle des pays de la langue étudiée, afin de tester la compréhension dans toutes ses dimensions (linguistique mais aussi socio-culturelle) et peut toucher des domaines variés. La longueur indicative de la réponse attendue est de 100 mots (+/- 10%). Cet exercice compte pour 6 points.
  3. Une question de production écrite, en lien avec le texte proposé, destinée à évaluer la capacité d’argumentation du candidat. La longueur attendue de cette production écrite est de 200 mots (+ ou – 10%). Cet exercice compte pour 8 points.

La note de l’épreuve n’est comptabilisée que lors de la phase d’admission.

Concours A ENV - L'épreuve de Langues vivantes facultatives (2h)

Cette épreuve est identique à l’épreuve d’anglais. Elle porte sur une langue vivante étrangère autre que l’anglais, choisie à l’inscription, parmi l’une des six langues suivantes : allemand, arabe, espagnol, italien, portugais, russe. 

Pour cette épreuve, seuls sont pris en compte les points au-dessus de la moyenne (10/20), affectés du coefficient de l’épreuve ; ils sont comptabilisés dans le total de points obtenus par le candidat, mais pas dans la division pour le calcul de la moyenne. La note de l’épreuve intervient à l’admission et apparaît dans les bulletins de notes correspondants ; seules les copies des candidats admissibles sont corrigées.

  • Epreuves d'admission

Concours A ENV - L'épreuve pratique de biologie (3h)

L’épreuve pratique de biologie a pour objet de révéler essentiellement les capacités d’observation et de représentation du réel, les capacités techniques de manipulation et d’expérimentation, d’analyse et leur mise au service de la compréhension du fonctionnement du vivant à différentes échelles. Celles-ci sont appréciées au travers de différentes activités s’appuyant chacune sur au moins un objet biologique concret, telles que : dissection animale, réalisation de montages microscopiques, utilisation de techniques de biologie cellulaire, identifications à toutes les échelles (organisme, organe, tissu ou cellule), manipulation informatique de données, etc. Ces activités, portant aussi bien sur le programme de première que de deuxième année, donnent généralement lieu à des productions personnelles (dessin, schéma, graphique, rédaction courte de conclusions, etc.). Tous ces éléments sont évalués.

La durée totale est de trois heures. Les candidats, disposant de l’ensemble du matériel dès le début de l’épreuve, sont libres de leur organisation temporelle.

Concours A ENV - L'épreuve orale de biologie (1h)

30 min de préparation + 30 min d’interrogation

L’épreuve comprend un sujet de synthèse et une interrogation sur documents ; le sujet de synthèse et les documents portent sur des domaines différents. Les feutres pour tableau blanc et un chronomètre sont fournis à chaque candidat.

Le candidat choisit entre deux sujets de synthèse ; le document, remis au candidat au moment du choix, n’est pas tiré au sort mais fourni par le jury ; le document ne porte pas de titre mais le texte permet au candidat d’identifier rapidement le domaine concerné.

Pendant le temps de préparation, le candidat prépare sa synthèse au tableau ; il prend connaissance des documents sans intervenir sur le document et sans prise de note (aucun papier de brouillon n’est fourni). Pendant la phase de dialogue sur les documents, l’examinateur peut proposer au candidat une feuille de « brouillon », par exemple pour amorcer un schéma si cela s’avère utile ; le papier reste dans la salle d’interrogation.

La traduction des termes en anglais est indiquée.

Un document annexe peut être fourni au candidat, s’agissant de supports utiles ou nécessaires à l’analyse des documents qui correspondent à des éléments déjà rencontrés dans la formation (liste et familles d’acides aminés, cycle de Krebs, code génétique, etc.) mais dont la mémorisation n’est pas exigée.

Concours A ENV - L'épreuve de Mathématiques pratiques et Informatique (70min)

30 min de préparation + 40 min d’interrogation

L’épreuve évalue les compétences (I = projet informatique, M = mathématiques pratiques) 

  1. Préparation (30 minutes) : étude d’un problème mathématique relativement ouvert.
  2. Présentation et dialogue sur le problème posé en préparation (20 minutes)
  3. Présentation de projet (20 minutes)

 

Concours A ENV – L'épreuve de physique-chimie 

Activité expérimentale (3 h - sans préparation)

Cette épreuve s’appuie sur l’exigence d’évaluer les compétences expérimentales des candidats dans le champ scientifique de la physique-chimie à l’issue des deux années de préparation dans la filière BCPST. Ces compétences représentent l’un des piliers de la démarche scientifique au cœur de la formation des futurs ingénieurs et vétérinaires. Sans imposer de contrainte mono disciplinaire drastique, le thème de travail expérimental proposé dans l’épreuve couvre néanmoins essentiellement un champ académique, celui de la chimie ou celui de la physique. Pour chaque candidat, les deux épreuves orales respectent à cet égard l’équilibre entre les deux champs académiques qui sont rencontrés alternativement. Au cours de l’épreuve, il est demandé au candidat de concevoir une démarche expérimentale, de réaliser une ou plusieurs manipulations, d'effectuer des mesures aussi précises que possible, d’évaluer des incertitudes de mesure et d'interpréter de façon critique les résultats obtenus. Il pourra pour cela utiliser les ressources à sa disposition : représentations graphiques, notices, banques de données, outils de calcul ou de simulation (les logiciels Regressi, Gum, Dozzzaqueux et Latis Pro pourront notamment s'avérer utiles ; le jury se réserve également le droit de faire appel à d'autres logiciels pertinents selon les thèmes ; dans tous les cas, les candidats sont soutenus dans la démarche d'utilisation des logiciels).

Le candidat doit faire preuve à la fois d'initiative et de réactivité face à une situation en partie nouvelle, et d'esprit pratique pour prendre en compte les contraintes matérielles, avec une attention particulière portée au respect des règles de sécurité. Il lui est également nécessaire de mobiliser ses compétences de communication, d'une part, sous la forme d'un dialogue avec l'examinateur pendant l’épreuve et, d'autre part, via la production d'un rapport écrit succinct, accompagné éventuellement de documents numériques (graphes, tableaux, figures, etc.).

Argumentation et échange (15 min de préparation – 30 min d’interrogation)

Cette épreuve s’appuie sur l’exigence d’évaluer le potentiel des candidats, au regard de la formation suivie pendant les deux années de CPGE en filière BCPST, et avec l’objectif de poursuite d’études dans les écoles d’ingénieur et écoles vétérinaires. Cette épreuve consiste en une question ouverte soumise à la réflexion du candidat en autonomie pendant une faible durée et suivie d’un dialogue avec l’examinateur. Le thème de la question couvre un champ académique, celui de la chimie ou celui de la physique. Pour chaque candidat, les deux épreuves orales respectent à cet égard l’équilibre entre les deux champs académiques qui sont rencontrés alternativement.

L’échange est organisé par l’examinateur selon des critères scientifiques et en fonction de la réactivité du candidat. Pendant l’échange, des compétences transversales sont mobilisées fortement à côté des compétences scientifiques. Elles couvrent différents domaines : analyse, initiative, démarche de résolution, critique d’une méthode ou d’un modèle, rigueur et honnêteté intellectuelles, obtention d’ordres de grandeurs, connaissances expérimentales, liens entre concepts et applications, culture scientifique. Les compétences de communication orales également évaluées par l’épreuve relèvent essentiellement de l’écoute, de la prise en compte des remarques de l’examinateur, de la spontanéité et de la clarté de l’expression.

Concours A ENV – L'épreuve de Géographie (75min)

45 min de préparation et 30 min d’interrogation

L’oral comporte un temps d’exposé, d’une durée de 20 minutes maximum, suivi d’un temps de questions avec l’examinateur de 10 minutes. L’épreuve comporte un sujet et des documents portant sur un territoire rural ou périurbain français (territoire métropolitain ou ultramarin).

  • Le sujet indique une thématique qui oriente l’analyse du territoire.
  • La carte topographique, au 1/25 000ème comme au 1/50 000ème , est le document de base.
  • Des documents complémentaires, 3 au maximum, de sources variées, l’accompagnent. Parmi eux peuvent figurer : des extraits de carte topographique d’édition antérieure ou d’échelle différente ; des cartes thématiques (carte de la végétation, plan de prévention des risques etc.) ; des images de tous types (images satellites, photographies, croquis, etc.) ; des documents statistiques ; des textes. Ces documents peuvent provenir des ressources de l’Internet, en particulier les sites d’information géographique, les atlas et globes virtuels tel que le Géoportail ou Google Earth. La carte géologique au 1/1 000 000ème et l’atlas sont systématiquement présents en salle de préparation et durant l’oral.

L’objectif de l’épreuve est d’évaluer la capacité d’analyse et de synthèse du candidat, mais aussi sa curiosité, sa réflexion personnelle sur les thèmes proposés, bien davantage que son érudition.

Elle entend évaluer également les futurs agronomes et vétérinaires sur des problématiques géographiques liées aux espaces ruraux, et les confronter de manière approfondie à des documents courants mais dont la maîtrise leur sera très utile dans leur vie professionnelle à venir, par exemple les cartes topographiques, les statistiques, les images de tous types.

Enfin, la culture générale dont certains candidats font preuve sur des thématiques agricoles, environnementales ou historiques leur permet d’accéder à d’excellentes notes car elle témoigne d’une ouverture intellectuelle considérée comme un atout.

Concours A ENV - L’épreuve d’évaluation des travaux d’initiative personnelle encadrés (30min)

Le sujet du TIPE est à dominante biologique ou à dominante géologique ou mixte pour les candidats de BCPST. Dans tous les cas, la gestion de l’activité TIPE doit rester pluridisciplinaire. Le sujet doit rentrer dans le champ du thème national défini pour la session 2022 1 . Les travaux se concrétisent par la rédaction d’un rapport comportant de six à dix pages au maximum (20 000 caractères maximum), illustrations comprises (voir annexe). Les textes et figures sont originaux sauf, éventuellement, pour des documents servant de base à la question qui est à l’origine de l’étude

Concours A ENV - L'épreuve d'anglais (1h)

30 min de préparation + 30 min d’interrogation

La première partie de l'interrogation (20 min) porte sur un article de presse de 500 mots environ (article portant sur des questions d’actualité à l'exclusion de tout article technique) que le candidat aura reçu au début de son temps de préparation, et dont il devra donner en 10-12 min un compte rendu structuré (et non un résumé linéaire) suivi d'un commentaire étoffé et construit, le tout comptant pour 12 points sur 20. Quelques questions peuvent lui être posées à la fin de son exposé.

La seconde partie de l'interrogation (les 10 min finales) consiste à visionner deux fois de suite un extrait d'émission de télévision d’une durée de deux minutes maxima avec prise simultanée de notes, puis à le restituer avec un maximum de détails, à l'exclusion de tout commentaire. A l’issue de la restitution l’examinateur peut être amené à poser quelques questions. Cette partie compte pour 8 points sur 20.

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►Quelles sont les écoles accessibles par la voie A ENV ?

L'ONISEP a récemment publié un article intéressant résumant le nombre de places offerte pour chacun des différents concours vétérinaires ainsi que quelques statistiques sur les candidats. Découvrez-le ici: ARTICLE ONISEP.

Le concours A ENV ouvre l'accès à 4 écoles vétérinaires réparties au 4 coins de la France. Les lauréats auront ainsi accès aux écoles vétérinaires de : Maison Alfort - l'ENVA, Nantes - Oniris, Toulouse - INP ENVT, Lyon - VetAgro Sup. Les places disponibles via le concours A ENV sont uniformément réparties selon ces 4 écoles. Mais attention, ces écoles offrent des formations bien différentes et il est fortement conseillé de connaître le contenu des programmes et des débouchés relatifs à ces institutions pour éviter toute désillusion une fois l'intégration effectuée. Pour visiter le site des écoles vétérinaires, cliquez sur leur logo respectif.

  

 

►Quelles sont les écoles accessibles par la voie A BIO ?

  • POLYTECH Angers (Génie Biologique et santé)
  • POLYTECH Annecy-Chambery (Ecologie industrielle et territoriale)
  • POLYTECH Clermont-Ferrand (Génie biologique) o POLYTECH Grenoble (Technologies de l’information pour la santé)
  • POLYTECH Lille (Génie biologique et alimentaire) Banque Agro Véto
  • POLYTECH Marseille (Génie biomédical)
  • POLYTECH Marseille (Génie biologique, biotechnologie)
  • POLYTECH Montpellier (Génie biologique et agroalimentaire)
  • POLYTECH Montpellier (Sciences et technologies de l’eau)
  • POLYTECH Nantes (Génie des procédés et bioprocédés)
  • POLYTECH Nice-Sophia (Génie biologique)
  • POLYTECH Nice-Sophia (Génie de l’eau)
  • POLYTECH Orléans (Génie civil et Géo environnement)
  • POLYTECH Orléans (Génie industriel)
  • POLYTECH Sorbonne (Agroalimentaire)
  • POLYTECH Sorbonne (Matériaux)
  • POLYTECH Sorbonne (Sciences de la Terre)
  • POLYTECH Tours (Génie de l’aménagement et de l’environnement)
  • ESBS Strasbourg (Biotechnologies)
  • ECPM ESBS Strasbourg (Chembiotech)
  • ESIAB (Microbiologie et qualité / Agroalimentaire)
  • ESIR Rennes (Technologies de l'information pour la santé)
  • ESIROSaint-Denis de La RéunionI
  • ESIX Normandie-Caen Agroalimentaire
  • ENSTBB Bordeaux
  • EPISEN Créteil (Génie Biomédical et Santé-ISBS)
  • ISIFC Besançon (Génie biomédical)
  • SUP'Biotech (Biotechnologies)

Où suivre les cours de préparation aux concours A ENV Véto et A BIO Agro ?

Chaque formation combine des cours en présentiel et par visioconférence. 

  • Cours de préparation aux concours A ENV Véto et A BIO Agro à Paris, au 1 Place de la République, dans le 3ème arrondissement
  • Cours de préparation aux concours A ENV Véto et A BIO Agro à Toulouse, au 66 Boulevard de Strasbourg, à proximité de la place Jeanne d'Arc
  • Cours de préparation aux concours A ENV Véto et A BIO Agro à Lyon, au 40 Rue des Remparts d'Ainay, dans le 2ème arrondissement
  • Cours de préparation aux concours A ENV Véto et A BIO Agro à Bordeaux, au 55 rue Ségalier 33000 Bordeaux
  • Cours de préparation aux concours A ENV Véto et A BIO Agro à Marseille, au 6 square Stalingrad 13001 Marseille

 

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